MARCHÉ MONÉTAIRE

MARCHÉ MONÉTAIRE
MARCHÉ MONÉTAIRE

Si le rôle du banquier est de permettre à la fois le financement du déficit des agents économiques ayant des dépenses supérieures à leur revenu courant et la fourniture aux agents ayant, au contraire, des dépenses inférieures à leur revenu, de moyens de placement de leurs excédents, l’exercice de ce rôle suppose qu’il puisse, lui aussi, disposer de tels moyens afin d’adapter à tout moment, suivant des règles de gestion assurant à ses clients comme à lui-même un certain nombre de garanties, un montant d’emplois (prêts bancaires) et un montant de ressources (dépôts bancaires) qui ne s’équilibrent pas forcément.

Le financement de ses déficits de liquidités comme le placement de ses excédents seront assurés dans tout système bancaire évolué par une banque centrale qui est la «banque des banques» ou «le prêteur en dernier ressort» et par un marché monétaire qui réalise la compensation des excédents et des déficits de liquidités des banques avant que la banque centrale n’intervienne pour régler le solde final de ces opérations interbancaires.

Définition et origines

L’expression de marché monétaire définit couramment le marché des capitaux (de l’argent) à court terme (c’est-à-dire moins de deux ans) sur lequel apparaissent les offres et les demandes des individus ou ménages, des entreprises non financières, des institutions financières, des administrations publiques ainsi que de l’étranger. Ce marché monétaire est alors distingué du marché financier avec lequel il entretient, d’ailleurs, des rapports très étroits, et qui est le marché des capitaux (de l’argent) à long terme, c’est-à-dire à plus de deux ans. Charles Rist donna à cette distinction un fondement théorique en opposant l’épargne réserve et l’épargne créatrice. Cette conception est souvent utilisée pour décrire d’une manière cohérente et générale les origines et les emplois de l’épargne, mais elle ne met pas en évidence les institutions et les mécanismes qui réalisent la transformation des ressources d’épargne en emplois déterminés.

Or, de même que la Bourse des valeurs constitue une expression concrète, bien que partielle, du marché financier, de même les praticiens de la banque connaissent un marché monétaire qui n’est pas une abstraction, mais une réalité, correspondant à un marché réel, obéissant à des règles et des modalités de fonctionnement précises, sur lequel certains d’entre eux, les trésoriers des banques notamment, interviennent chaque jour. D’où l’existence d’une conception du marché monétaire, au sens étroit et technique du terme, marché où se rencontrent, en vue de l’ajustement des trésoreries bancaires, les offres et les demandes d’un actif financier spécifique, l’avoir liquide en compte à la banque centrale ou monnaie centrale, émanant de banques et d’institutions financières diverses désireuses soit d’employer un excédent, soit de financer un déficit de liquidités à un taux et à des conditions qui diffèrent de ceux de la banque centrale. Ainsi compris, le marché monétaire est la clé de voûte de tout système monétaire et bancaire évolué. Il n’est alors pas étonnant que son origine se situe en Grande-Bretagne où le système bancaire moderne a puisé une grande partie de ses techniques financières.

Une dizaine d’années après la création des premières banques provinciales anglaises en 1740, il existait à Londres des courtiers (brokers) qui, ayant découvert que les banques des régions agricoles disposaient de plus de fonds qu’elles ne pouvaient en prêter alors que celles des régions en voie d’industrialisation ne pouvaient satisfaire toutes les demandes de crédit de leurs clients, se chargeaient de mettre en contact les industriels et commerçants à la recherche de capitaux et les banquiers capables d’accueillir de nouveaux clients sans tenir compte de la localisation géographique de leurs activités respectives. Cette compensation centralisée des excédents et des déficits de liquidité grâce à des intermédiaires constituait déjà l’essence du marché monétaire de Londres. Celui-ci ne prit sa physionomie contemporaine qu’à la suite, d’une part, des prêts à vue à court terme que les banques londoniennes prirent l’habitude de consentir aux brokers après qu’en 1825 la Banque d’Angleterre eut cessé de réescompter les effets commerciaux qu’elles lui présentaient (ce qui est à l’origine d’un actif typique des banques anglaises, le call money , abréviation de money at call and at short notice ) et, d’autre part, de la concentration des brokers dans des sociétés dénommées discount houses (la National Discount fut la première à être créée, en 1856) qui sont devenues l’institution essentielle du marché monétaire londonien. En effet, la Banque d’Angleterre n’est en rapport direct qu’avec elles, de même que les banques.

En France, une telle organisation avec maisons d’escompte fut bien mise en place à partir de 1926, mais elle ne connut pas le même succès. La raison en est que les banques françaises ont toujours eu la possibilité de s’adresser directement au réescompte de la Banque de France pour reconstituer leurs liquidités, car elles se chargent elles-mêmes de l’escompte des effets de commerce. Elles constituèrent bien, dès la fin du XIXe siècle, un marché hors banque, c’est-à-dire fonctionnant en dehors de la Banque de France, mais, jusqu’en 1985, ce marché n’atteignit jamais de grandes dimensions, les besoins de liquidités des banques étant satisfaits en grande partie par la Banque de France et un volume important de capitaux allant se placer à Londres du fait de l’organisation supérieure du marché britannique. Ce n’est qu’en 1938 que la Banque de France fut autorisée à acheter et vendre des effets publics sur ce marché, en vue notamment, et avec l’aide des maisons d’escompte, de le régulariser. Mais ce ne fut qu’un moyen supplémentaire de fournir des liquidités aux banques, car la Banque de France ne fut qu’exceptionnellement vendeuse sur le marché et dut constamment financer un déficit structurel de liquidités.

Les opérations

Les opérations du marché monétaire portent sur des échanges de liquidités entre banques et organismes assimilés, soit contre des titres ou effets admis sur le marché, soit, plus simplement, sous forme de prêts «en blanc», sans réception d’effets en contrepartie. Les opérations ont un objet bien précis et s’effectuent suivant certaines modalités.

L’objet des opérations

Du fait des passages entre dépôts et billets dans les deux sens ainsi que des modes de paiement par chèques bancaires qui entraînent la naissance de créances et dettes entre banques, il est apparu nécessaire, en particulier en France, que chaque banque dispose d’un compte auprès de la banque centrale, dont le débit et le crédit facilitent les règlements interbancaires ainsi que l’approvisionnement en billets demandés par la clientèle. Ce compte, qui enregistre ainsi le résultat des débits et des crédits de tous les clients de la banque, ne doit être ni débiteur – sinon la banque serait en état de cessation de paiements – ni trop créditeur, car cet avoir n’est pas rémunéré.

La banque doit donc se procurer les liquidités qui lui manquent, lorsque son compte menace d’être débiteur, ou chercher un emploi plus rémunérateur, lorsqu’elle prévoit qu’il sera trop créditeur. On dénomme «monnaie centrale» cet actif du compte à la banque centrale qui fait l’objet d’emprunts ou de prêts des banques.

Lorsque les banques sont tenues de conserver en compte à la banque centrale une fraction de leurs dépôts suivant le système des réserves obligatoires, leur avoir en compte à la banque centrale atteint un montant bien plus élevé et doit être impérativement respecté. L’ajustement de cette position de réserves conduit les banques à se porter soit prêteuses lorsqu’elles ont des réserves excédentaires, soit emprunteuses dans le cas contraire. Aux États-Unis, le marché qui se forme ainsi est appelé marché des fonds fédéraux (federal funds market ) ou marché des liquidités en compte de réserves obligatoires auprès des banques de réserves fédérales. D’une manière générale, outre la constitution de ces réserves obligatoires, trois séries de facteurs influencent le solde des opérations bancaires et, par là, la liquidité du système bancaire: la circulation des billets, les mouvements des avoirs en or et en devises et les opérations du Trésor. Un accroissement de la circulation fiduciaire, un déficit de la balance des paiements et un excédent des opérations du Trésor entraînent une diminution de la liquidité bancaire et un besoin de monnaie centrale alors que les situations opposées se traduisent par des effets de sens contraire.

La forme des opérations

Les opérations sont étroitement dépendantes des traditions bancaires nationales en ce qui concerne la nature du titre acheté ou vendu en échange de la fourniture ou de l’acquisition de monnaie centrale. En France, par exemple, les bons du Trésor, les bons de la S.N.C.F., les acceptations des banques ainsi que des effets de commerce de grande valeur sont des titres activement négociés. Bien que les textes prévoient que ces opérations peuvent revêtir la forme d’achats et ventes d’effets publics et privés et de dépôts, prêts et emprunts, ce sont surtout les pensions d’effets publics et privés qui sont utilisées, c’est-à-dire des ventes au comptant suivies d’un rachat à échéance déterminée, sans que pour autant intervienne une remise matérielle de l’effet au créancier. Un simple échange de lettres suffit. Ces prêts et emprunts se font pour des durées extrêmement variables, au jour le jour, à quarante-huit heures, à un, trois ou bien six mois, déterminant autant de compartiments du marché.

En Grande-Bretagne, les effets privés sont représentés, d’une part, par des acceptations bancaires (bank acceptance ) qu’escomptent les discount houses et qui sont l’instrument essentiel de financement du commerce international dans lequel le marché de Londres s’est spécialisé depuis longtemps et, d’autre part, par des effets de commerce intérieur (trade bills ). Quant aux effets publics, ils sont de trois sortes: bons du Trésor (treasury bills , et plus particulièrement les tender bills ), titres de la dette publique garantis par l’État (government security ) et, plus récemment, titres de dette des collectivités locales.

Les participants

D’une manière formelle, on retrouve sur les grands marchés monétaires des opérateurs bancaires ou assimilés et des opérateurs non bancaires ou intermédiaires tels que les courtiers d’escompte mettant en contact offreurs et demandeurs. Mais leurs rôles respectifs sont profondément différents suivant la structure et l’organisation du marché.

Le marché britannique

Le rôle des opérateurs sur le marché monétaire de Londres est conditionné par deux caractéristiques essentielles du marché: c’est un marché «large» et «ouvert» sur lequel viennent s’investir d’importantes disponibilités soit nationales, soit étrangères, et c’est un marché «institutionnel» dans la mesure où l’on peut réduire les opérations effectuées sur le marché aux seules relations existant entre les banques commerciales et les discount houses, la Banque d’Angleterre n’intervenant que sur le taux du marché monétaire et non pas pour fournir des liquidités aux banques ou en absorber. À la limite, le marché monétaire se confond avec les discount houses.

Celles-ci se procurent en effet des liquidités en empruntant aux banques commerciales du call money . Avec ces ressources, elles escomptent des acceptations bancaires, des effets commerciaux et des effets publics, bons du Trésor surtout (les banques commerciales leur laissent le soin de soumissionner lors des adjudications de la Banque d’Angleterre). Elles peuvent aussi recourir aux avances de la banque centrale, en lui cédant des effets et des titres. En position d’intermédiaires entre les banques et la Banque d’Angleterre, elles sont en mesure d’absorber ou de fournir aux premières le volant de liquidités nécessaires à l’ajustement de leur trésorerie en leur offrant ou en leur achetant toute une gamme d’effets et de titres suivant la structure des taux d’intérêt pratiqués.

De plus, le rôle des banques anglaises dans le financement des opérations de commerce international, joint à l’existence d’importants dépôts au nom de non-résidents des pays du Moyen-Orient et d’Asie, fait que le marché dispose d’abondantes liquidités et que les banques ne sont pas endettées auprès de la banque centrale. Une organisation supérieure et une gamme diversifiée d’instruments de placement ou d’endettement donnent donc au marché de Londres une place exceptionnelle parmi les marchés monétaires.

Ce «modèle britannique» a été exporté dans la plupart des pays développés du monde, à commencer par ceux de l’empire, devenus depuis lors membres du Commonwealth, puis aux États-Unis, dès le milieu du XIXe siècle, au Japon, au début du XXe siècle, et, beaucoup plus récemment, dans certains pays d’Asie du Sud-Est qui ont connu une forte croissance économique.

Le marché français avant sa réforme

Le marché monétaire français présentait une tout autre structure. C’était un marché in the bank (suivant une terminologie anglaise classique), c’est-à-dire qui fonctionne sous le contrôle de la banque centrale et non un marché out the bank ou marché libre (open market ) qui échappe au contrôle de la banque centrale. En effet, les banques françaises distribuaient traditionnellement une grande partie de leurs crédits à court terme sous forme d’escompte d’effets de commerce et se finançaient de nouveau directement par réescompte auprès de la Banque de France. Étant donné cet endettement permanent, leurs excédents temporaires de liquidités étaient principalement utilisés en désendettement auprès de la banque centrale et non en prêts au marché (libre). De plus, parmi les organismes autorisés à intervenir sur le marché monétaire (banques, établissements financiers, organismes financiers publics, sociétés de Bourse, sociétés d’assurances et de prévoyance) certains étaient des emprunteurs structurels, tels que les banques d’affaires et les établissements financiers, pour des montants largement supérieurs aux apports des prêteurs structurels. Il s’ensuivait un déficit qui expliquait le recours permanent du marché à la Banque de France et son caractère in the bank radicalement opposé au marché anglais out the bank .

On conçoit que le rôle de la banque centrale ne pouvait être envisagé de la même manière à Paris qu’à Londres ou à New York. Le fait que les banques centrales britannique et américaine ne soient pas directement et massivement prêteuses de monnaie centrale à leurs banques ne signifie pas toutefois qu’elles ne soient pas en mesure d’agir sur le marché libre. Elles y interviennent en achetant et vendant des effets publics dans le but de faire varier la liquidité du marché et, par là, le taux auquel se négocie la monnaie centrale, c’est-à-dire le taux du marché monétaire. C’est la technique des opérations d’open market (opérations sur le marché libre). Ce taux du marché monétaire qui varie suivant les forces de l’offre et de la demande doit être inférieur au taux d’appel d’offres de la banque centrale afin que celle-ci puisse rester le prêteur en dernier ressort auquel ne recourent qu’exceptionnellement et, pour cela, à un taux de pénalisation, soit des institutions spécialisées (cas anglais), soit des banques (cas américain). Les décisions d’achat et vente d’effets publics doivent aussi tenir compte de l’état de la liquidité du Trésor qui est un gros emprunteur du marché. Aux États-Unis, le Federal Open Market Committee est l’organisme essentiel de cette politique dans le cadre du Federal Reserve System.

En France, les interventions d’open market ne s’effectuaient que dans le sens de l’achat d’effets pour fournir des liquidités aux banques: ce n’était donc qu’une forme de concours direct de la Banque de France à celles-ci qui se distinguait des autres, dits à taux fixe, par la variabilité du taux auquel il était consenti. En 1972, la Banque de France, comme la plupart de ses grandes consœurs au cours des années 1970 et 1980, a supprimé ses opérations de réescompte à taux fixe (qui servait alors de «taux directeur»). Depuis lors, elle n’est intervenue comme participant actif sur le marché monétaire que par la technique de l’open market.

Le marché monétaire français rénové

Au milieu des années 1980, les autorités financières publiques et monétaires de la France ont dû résoudre les problèmes liés au fort accroissement de l’endettement de l’État. Il fallait rendre le marché monétaire français plus attrayant, l’élargir et le moderniser.

Par les réformes de 1985 et de 1986 principalement dirigées par Pierre Bérégovoy, alors ministre de l’Économie et des Finances, ce marché, suivant en cela la même évolution que dans les principaux pays, a cessé d’être strictement interbancaire. Il s’est étendu à de nombreux autres intervenants comme les O.P.C.V.M. (organismes de placement collectifs en valeurs mobilières, sicav, par exemple) ou même les particuliers, qui peuvent intervenir sur le marché, uniquement comme prêteurs, en négociant leurs certificats de dépôts à terme auprès des banques pour un montant minimal d’un million de francs.

Les entreprises, admises elles aussi sur ce marché élargi, peuvent en revanche être aussi bien emprunteuses que prêteuses lorsqu’elles ont des besoins de trésorerie. De nouveaux produits de marché se sont alors développés, comme les certificats interbancaires (C.I.) à moins d’un an, matérialisés par un billet à ordre et transmissibles sans garantie ni recours entre les établissements de crédit, et les titres de créances négociables (T.C.N.). Accessibles à tous les participants du marché monétaire, ces derniers comprennent les certificats de dépôts négociables émis par les établissements de crédit, les bons des institutions et sociétés financières et, enfin, les billets de trésorerie émis par des personnes morales autres que l’État et les organismes soumis à la loi bancaire.

Les techniques de couverture des risques se sont alors développées comme celle des contrats d’échange de taux d’intérêt, conventions par lesquelles deux parties s’engagent à se payer mutuellement des intérêts calculés selon des types de taux différents. Pour améliorer la sécurité des transactions, des organismes de notation (Moody’s, Standard and Poor) permettent d’apprécier la qualité des émetteurs de ces nouveaux titres.

Ces techniques nouvelles, en offrant des possibilités accrues de financement «désintermédiées» (en dehors des circuits bancaires), ainsi que le démantèlement du contrôle des changes réduisent très fortement l’efficacité des limitations réglementaires du crédit bancaire, lesquelles ont donc été abolies. Désormais, la Banque de France cherche à moduler la masse monétaire en agissant essentiellement sur les taux, et avant tout ceux du court terme, en concentrant ses interventions sur les marchés interbancaires dont les taux guident ceux des autres marchés. Dans ces conditions, elle fournit tout de même encore de la monnaie centrale aux établissements de crédit. Mais l’importance de son rôle de bailleur de fonds a diminué au profit de son rôle de régulateur d’un marché très élargi.

Depuis le 1er janvier 1994, en application du traité de Maastricht, elle exerce ce rôle de façon indépendante par rapport au gouvernement. Mais, dans le cadre de l’union monétaire européenne, la marge de manœuvre de la Banque de France en matière de taux, par rapport à ses consœurs, notamment la Banque fédérale d’Allemagne, est devenue plus étroite.

Marché monétaire marché sur lequel s'effectuent des transactions sur capitaux à court terme, entre les banques, ou, éventuellement, les institutions autres que bancaires, permettant aux demandeurs et aux offreurs de confronter leurs besoins de liquidités respectifs.

Encyclopédie Universelle. 2012.

Игры ⚽ Поможем решить контрольную работу

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Marche monetaire — Marché monétaire Le marché monétaire est au sens large un marché informel où les institutions financières Trésors nationaux, banques centrales, banques, gestionnaires de fonds, assureurs, etc et les grandes entreprises placent leurs avoirs à… …   Wikipédia en Français

  • Marché Monétaire — Le marché monétaire est au sens large un marché informel où les institutions financières Trésors nationaux, banques centrales, banques, gestionnaires de fonds, assureurs, etc et les grandes entreprises placent leurs avoirs à court terme pour se… …   Wikipédia en Français

  • Marché monétaire — Le marché monétaire est au sens large un marché informel où les institutions financières – Trésors nationaux, banques centrales, banques commerciales, gestionnaires de fonds, assureurs, etc. – et les grandes entreprises (marché des billets de… …   Wikipédia en Français

  • Taux moyen mensuel du marche monetaire — Taux moyen mensuel du marché monétaire Le taux moyen mensuel du marché monétaire ou T4M est la moyenne arithmétique de l Eonia sur un mois. Il est publié mensuellement par la FBE (Fédération Bancaire Européenne), le premier jour ouvré du mois… …   Wikipédia en Français

  • Taux moyen mensuel du marché monétaire — Le taux moyen mensuel du marché monétaire ou T4M est la moyenne arithmétique de l Eonia sur un mois. Il est publié mensuellement par la FBE (Fédération bancaire de l Union européenne), le premier jour ouvré du mois suivant. Il est utilisé… …   Wikipédia en Français

  • monétaire — [ mɔnetɛr ] adj. • XVIe; bas lat. monetarius ♦ Relatif à la monnaie. Alliage monétaire. Unité, étalon monétaire. ⇒ monnaie (2o). Masse monétaire : somme de l ensemble des moyens de paiement et de la quasi monnaie recensés dans un pays, à un… …   Encyclopédie Universelle

  • MARCHÉ FINANCIER — Dans les pays à économie de marché, les agents économiques qui doivent faire face à un besoin de financement – entreprises, État, collectivités locales – et ceux qui disposent de capacités de financement – gestionnaires individuels ou collectifs… …   Encyclopédie Universelle

  • Marché de gros — Marché L étal d une marchande de fruits et légumes dans un marché couvert à Gênes …   Wikipédia en Français

  • Marché forain — Marché L étal d une marchande de fruits et légumes dans un marché couvert à Gênes …   Wikipédia en Français

  • Marché public (lieu) — Marché L étal d une marchande de fruits et légumes dans un marché couvert à Gênes …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”